Les 5 choses que je redoutais au Costa Rica
Autant vous le dire dès le début, si je m’étais écoutée, je ne serai jamais partie au Costa Rica !
Moi partir dans un pays où il fait vraiment très très chaud, c’était clairement loin d’être sur ma bucketlist de voyages et pour plusieurs raisons.
Ce n’est pas un caprice mais bien une réalité.
Il faut savoir qu’au Costa Rica, la période idéale et recommandée est la saison sèche, entre décembre et avril. C’est celle que nous avons bien évidemment choisi pour avoir un maximum de soleil.
Je t’avoue les 5 choses que je redoutais le plus avant de partir en voyage au Costa Rica.
1. Je ne peux pas m’exposer au soleil
Ma solution ? Partir couverte ! Aujourd’hui, nous avons suffisamment de solutions pour nous protéger correctement du soleil. Ma checklist de voyage a donc été construite en conséquence.
Je me suis équipée d’écran total, suffisamment pour 10 jours. J’ai pris un chapeau large pour couvrir largement le visage et le cou. Enfin j’ai banni les débardeurs et shorts au maximum.
Ma stratégie était simple : moins il y a de zones découvertes, moins je passe de temps à stresser et à me mettre de l’écran total. Et ainsi je passe plus de temps à profiter de mon voyage au Costa Rica.
Hello, moi c’est Stéphany. Je crée et organise ton voyage sur mesure.
2. La chaleur n’est pas mon amie
En choisissant la Laponie j’aurais sans aucun doute eu moins chaud, n’est-ce pas ?
Je dois vous avouer que ma saison préférée, c’est l’automne. Le Costa Rica était donc un défi pour moi en pleine saison sèche. Donc forcément ce que je redoutais au Costa Rica c’était la chaleur !
Ce que je retiens surtout c’est que peu importe les zones sèches ou humides où nous nous sommes rendus, en moins de 10 minutes tu es déjà à moitié cuit alors autant faire avec et se souvenir de suite pourquoi tu as choisi d’organiser un voyage dans ce pays exotique.
Ma réponse est et restera pour sortir de ma zone de confort. Je l’ai fait et j’ai survécu.
3. Me retrouver au milieu de la jungle n’avait rien de rassurant.
Même si je ne me l’avouais qu’à moitié, je redoutais un peu de me retrouver au milieu de la jungle !
La solution que je te recommande est de prendre un guide local qui saura te guider, à travers ces paysages incroyables du Costa Rica et la jungle !
Ce pays est sans conteste unique au monde. C’est le champion du monde de l’écologie et le pionnier de l’écotourisme.
30% du territoire est protégé. Il compte pas moins de 27 parcs nationaux, 9 réserves écologiques, 30 réserves nationales de faune, 12 réserves forestières, sans compter les nombreuses réserves privées.
Notre guide a rendu notre séjour inoubliable avec plein d’anecdotes et une réelle envie de transmettre ses connaissances sur son pays.
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4. Me retrouver nez-à-nez avec des bestioles dont je ne soupçonnais même pas l’existence
Je crois que dans l’absolu personne n’aime ça, non?
Alors oui je l’avoue ici, je redoutais me retrouver nez-à-nez avec des bestioles au Costa Rica. Oui j’ai vu des caïmans, des singes hurleurs, des singes araignées, des capucins, des serpents, des araignées énormes, des grenouilles vénéneuses, des paresseux..
A chaque fois, le guide a eu la délicatesse de nous prévenir. Je ne suis donc pas tombée par surprise sur une des ces magnigiques créatures 😉
J’ai vu des bestioles toutes aussi incroyables les unes que les autres et dont je garde un merveilleux souvenir.
Qui aurait cru ça !
5. La peur du vide sur les ponts suspendus
Tout seul on va plus vite mais à plusieurs on va plus loin. S’encourager et se lancer à la conquête des ponts suspendus du parc Mistico Arenal au Costa Rica, je l’ai fait.
Les ponts suspendus tremblaient tellement que je me suis bien garder de prendre une photo du point de vue.
J’ai préféré laisser faire les plus audacieux et me concentrer sur ma stabilité !
Tu veux connaître la cerise sur le gâteau ?
Ce n’est pas un pont mais bien 16 ponts suspendus que tu auras l’occasion de traverser en te rendant dans le parc du Mistico Arenal au Costa Rica.
Cette magnifique randonnée dure 2 heures au milieu d’une faune et flore luxuriante. Je te la conseille, avec de bonnes chaussures et ta gourde pour t’hydrater régulièrement.
Que dire en guise de conclusion ? Pura Vida !
Se laisser dépasser en voyage, c’est l’opportunité de vivre l’aventure à fond, de sortir de sa zone de confort. Bien organiser son voyage et définir ce que tu as envie de faire ou que tu acceptes de faire est aussi la clé.
Au Costa Rica, je me suis créée des souvenirs incroyables. Je ne regrette rien.
Je t’invite à te laisser surprendre par le monde, et à te préparer à partir à l’aventure. 🌄
Nouvelle ici ?
Et si tu commençais par ces articles là :
Hello moi c’est Stéphany, lyonnaise depuis 20 ans…
Pour moi, Barcelone n’est pas qu’une ville de passage.
Si je m’étais écoutée, je ne serai jamais partie au Costa Rica !